Épidémie de choléra
HAÏTI AGONISE EN SILENCE
Un reportage photographique de Julien Tack, grand reporter.
Centre de traitement du cholera a Tabarre en banlieue de Port-au-Prince le 13 novembre 2010.
Les conditions d'hygiène a Cités Soleil sont telles que la propagation du cholera est fulgurante. Port-au-Prince le 13 novembre 2010.
Fillette remplissant un bidon d'eau potable dans un camp de réfugiés à côté de Cité Soleil à Port-au-Prince, le 13 novembre 2009.
Cortège funéraire d'une femme de 45 ans décédée du cholera le 11 novembre 2010 à Villard dans le centre de L'Artibonite, principal foyer de l’épidémie. L’épidémie a fait officiellement 742 morts mais ne sont comptabilisés que les décès dans les hopitaux rendant le nombre reel bien plus important.
Dans une morgue de Gonaïves (190 km de Port au Prince) un mort du cholera est transféré dans une sac étanche afin de limiter la propagation de la maladie, le 11 novembre 2010.
Dans le camp de réfugiés de l'aviation, à Port-au-Prince, des gens vont chercher de l'eau traitée. La promiscuité dans les camps est telle et les conditions d'hygiène si déplorables qu'il est essentiel que les habitants respectent les consignes du ministère de la santé publique et de la population d'Haïti afin d'éviter une propagation de la maladie.
3 commentaires:
est-ce pour autant qu'on entend des voix si on considère que
la domination du Capital est la question centrale ?
En tout cas, je les entends aussi
Après le tsunami et l'épidémie du choléra, la malédiction s'abat réellement sur eux.
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